Sylvain Legendre est un passionné de pêche depuis l’âge de 3 ans. Autodidacte, il a affiné sa pratique en rejoignant des clubs à l’adolescence et en explorant plus de 30 pays à la recherche de nouvelles façons de pêcher. Pour lui, la pêche est bien plus qu’un loisir : c’est une véritable aventure. Il encourage chacun à croire en sa passion, malgré les doutes extérieurs, car avec de la volonté et de l’engagement, il est possible d’en faire un mode de vie.

Je m’appelle Sylvain Legendre, j’ai 48 ans, j’habite à Sallanches et je travaille à Marnaz.


Quand la passion mord à l’hameçon

Aussi loin que je me souvienne, j’ai commencé la pêche à l’âge de 3 ans, avec un petit bout de bois au bord d’une flaque d’eau. Bien sûr, je n’attrapais rien, mais de fil en aiguille, la passion a grandi.

Je me suis formé tout seul, en rejoignant des clubs de pêche à l’adolescence. J’ai croisé quelques mentors au fil du temps, mais cette passion est née naturellement.


Autour du monde, canne à la main


Je voyage beaucoup, par et pour la pêche. C’est vraiment une passion. J’ai dû pêcher dans une trentaine de pays différents. Ce que je recherche, c’est plus l’expérience, les lieux, les façons de pêcher, que le poisson en lui-même. À chaque fois, c’est une nouvelle aventure.


Toujours croire en ses rêves 

Si j’avais un conseil à me donner plus jeune, ce serait de voir grand. Mes parents ne m’ont jamais encouragé dans cette voie, ils me disaient : « Arrête avec ta pêche, tu ne feras jamais rien avec ça. » Un peu comme certaines personnes qui disent la même chose à leurs enfants au sujet de la montagne, du vélo, etc.

En réalité, il y a toujours des débouchés. Si on s’en donne les moyens, si on s’investit, si on est passionné, il y a presque toujours moyen de vivre de ce qu’on aime, à différentes échelles, bien sûr. Ce ne sont pas toujours des métiers prestigieux, mais si on ne lâche rien, on finit par y arriver.

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